
Vous penserez à moi, mais il sera trop tard,
Vers mes steppes déjà je serai repartie ;
Pour longtemps, pour toujours, cachée à vos regards.
Mon image, soudain par l’absence éclaircie,
Vous penserez à moi, mais il sera trop tard.
Vous passerez devant la maison triste et vide,
Où vous trouviez toujours un chaleureux accueil
Et vous demanderez, arrêté sur le seuil :
« Elle n’est donc plus là ? » La calèche rapide
Vous emportant, à moi vous penserez trop tard !
...
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