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Femmes en Poésie
4 mai 2023

Marcela Delpastre (1925 – 1998) : Prélude / Preludi

Marcela Delpastre (1925 – 1998) : Prélude / Preludi
photo : La vie quercynoise Prélude Que vous écoutiez, que vous n’écoutiez pas, qu’est-ce que cela me fait ? Celui qui passe, qu’il écoute ou qu’il passe, qu’est-ce que cela me fait ? Si vous écoutez le vent, quand il souffle dans les hêtres et quand il...
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1 mai 2022

Marcela Delpastre (1925 – 1998) : Le pays mort / Lo pais mòr (01/04/2022)

Marcela Delpastre (1925 – 1998) : Le pays mort / Lo pais mòr (01/04/2022)
Le pays mort Je parle d’un pays mort qui ne sait pas s’il vit encore. D’un pays mort dans ses ronces ; dans la rouille de ses rigoles. D’un pays qui s’oublie lui-même. Je suis née d’un pays qui meurt tous les jours dans son âme et sa chair. Qui meurt...
1 mai 2021

Marcela Delpastre (1925 – 1998) : « Comme l’eau va un jour... » / « Coma l’aiga que vai, un jorn... »

Marcela Delpastre (1925 – 1998) : « Comme l’eau va un jour... » / « Coma l’aiga que vai, un jorn... »
Comm e l’eau va un jour. Un jour que je m’attardais sous les trembles, un jour que le grand vent arrachait du ciel les nuées et les pauvres feuilles de l’arbre, comme l’eau va et ne sait où elle va, une fois tu m’as regardée ; comme un rayon de soleil...
1 mai 2020

Marcela Delpastre (1925 – 1998) : « Entre toutes choses... » / « Entre tot... »

Marcela Delpastre (1925 – 1998) : « Entre toutes choses... » / « Entre tot... »
Entre toutes choses je louerai la main. Cinq doigts. Le poing fermé, l’oiseau qui dort, la tête sous l’aile. Cinq doigts. Le poing qui se déplie comme une aile, la feuille de mai. L’oiseau qui se réveille. La tête, les pattes, le bec. La main vivante....
25 janvier 2017

Béatrice, Comtesse de Die / Beatriz Comtessa de Dia (vers 1140 – après 1175) : « Grande peine m’est advenue… » / « Estat ai en

Béatrice, Comtesse de Die / Beatriz Comtessa de Dia (vers 1140 – après 1175) : « Grande peine m’est advenue… » / « Estat ai en
Grande peine m'est advenue Pour un chevalier que j'ai eu, Je veux qu'en tous les temps l'on sache Comment moi, je l'ai tant aimé; Et maintenant je suis trahie, Car je lui refusais l'amour, J'étais pourtant en grand'folie Au lit comme toute vêtue. Combien...
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