
Qui n’a pas aimé tes yeux...
Au creux d’une paume tremblée
la nuit s’allonge et ton sommeil
rend la nuit aux étoiles
Du croissant de lune au jour
quand les arbres s’endorment doucement
tes paupières baissées
murmurent une femme des bords de sable et de mer
J’ai posé une prière sur tes épaules
mot après mot
j’efface le langage
le silence est une histoire pour le plus profond de la nuit
Qui n’a pas aimé tes yeux
n’a jamais aimé
Qui n’a pas aimé tes yeux...
Refermer la main en son tremblement
emprisonner...
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