
En regardant voler les couples d’hirondelles
Un rayon oblique envahit ma chambre solitaire,
Déjà le crépuscule assombrit à demi ma porte,
Les hirondelles feignent d’ignorer ma si grande tristesse
Sous l’auvent de ma demeure, deux par deux, elles tourbillonnent en liberté.
Traduit du chinois par Shi Bo
in, «A celui qui voyageait loin. Poèmes d’amour de femmes chinoises,
(VIIème – XVIème siècle) »
Editions Alternatives, 2000
Voir aussi :
Sur l’air « Sheng tsa tse »...
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