sur ma peau
douce et chaude
n’es-tu pas triste
que ta main ne se pose,
toi qui me parle de la Voie.
Traduit du japonais par Denis Andro et Makiko Ueda
In, Revue « Vagabondages, N° 77, Janvier/Février/Mars 1990 »
Association Paris-poète
3, rue Séguier, 1990
Voir aussi :
« le printemps est si court… » (27/01/2017)