
Chant arabe
L’œil bascule dans la nuit au moment du trépas
O la blanche fulgurance folie des ailes qu’on ne connaît pas
Ouatées de silence elles frôlent le bras sur l’oreiller
Et ouvrent l’œil rond à la nuit de l’impalpable
Le froid tisseur de tubéreuse trépigne sur ma pupille
Je vois glisser la tenture mobile de l’horizon qui rutile
...
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